Les Relations Pyramidales, CEst Dépassé [2]
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Alors que je découvre sa poitrine dans ce soutien-gorge transparent, mes mains se referment dessus. Johanna me dit alors :
- Qui aurait cru ça
? Je pensais pas te faire autant deffet.
Je passe mes mains derrière son dos, dégrafe son soutien-gorge, et le lève pour libérer ses seins. Ces tétons pointent et mindiquent que son état dexcitation est proche du mien. Je masse cette poitrine sans réaliser pour le moment que cest ma chef, cest au moment où jai approché ma bouche de ces tétons que je me suis dit « putain tu suces les seins de Johanna ! ». Je commençais à jouer avec, quand elle ma relevé la tête, ma embrassé, et ma chuchoté :
- Faut quon y aille.
Mes mains se sont posées sur ses fesses, je lai attirée contre moi pour quelle sente mon érection contre son ventre. Je lai embrassée, puis je lai laissé se rhabiller et me calmer.
Pendant le trajet dans la voiture, je ne savais pas quoi dire. Mêlé entre gêne et excitation, mon silence me semblait pesant. Alors quon roulait, Johanna a posé sa main sur ma cuisse, et sest dirigée vers mon sexe.
- Didons, tu bandes encore !
Je suis resté silencieux. Elle ma massé un peu lentrejambe, je restais toujours silencieux, mais je nai rien fait pour la repousser. Arrivé sur place, jai fait de mon mieux pour me calmer et penser à autre chose. La journée sest bien déroulée ; je glissais un il de temps en temps sur Johanna, un regard un peu plus appuyé quà laccoutumée, quelquun dobservateur aurait pu sen rendre compte. Dès que je repensais à son soutif, je ne pouvais pas mempêcher de penser quelle cache bien son jeu.
Le soir Johanna devait me ramener, dans la voiture on a parlé de la journée, puis arrivé chez elle, jallais lui faire la bise pour lui dire au revoir, mais ma bouche sest posée trop prêt de la sienne. On sest embrassés et elle ma fait rentrer.
Les jours ont passés sans quon se croise, puis finalement on est tombé nez à nez, un matin, à laccueil administratif de notre boîte. Elle portait un haut avec les épaules nues, vert et blanc, et une jupe un peu trop stricte. Je craignais une gêne, mais finalement rien de tout ça, on sest fait la bise comme dhabitude, et on a papoté 5 minutes. Je détaillais discrètement son haut pour essayer de voir si elle portait quelque chose dessous, et quoi.
- Je vois ça, surtout quen plus celui-là te plairait je pense.
Elle parlait de son soutif. Je suis resté un peu estomaqué, alors quelle était tout sourire. Elle me fit un clin dil et repartit pour une réunion. Au moment où elle sest retournée jai poussé ma chance en lui assignant une petite claque sur une fesse, et en disant :
- Va falloir que je voie ça !
Cétait risqué, elle pouvait tout aussi bien mal, voire même très mal, le prendre. Mais elle sest retournée toujours souriante et ma gratifié dun « on verra
». Puis elle est partie.
La matinée se poursuit, et je sais que Johanna doit passer par mon bureau (que je partage avec 4 collègues) avant de repartir à son bureau (qui est de lautre côté de lentreprise). Dans cette pièce nous sommes positionnés 2 par 2, face à face, et un dernier à lentrée de la pièce, qui me fait dos. Mon collègue qui est habituellement à ma droite nest pas là cette semaine. Quand Johanna vient enfin, elle discute avec mes collègues, puis elle vient sassoir à côté de moi. Nos autres collègues ne voient que nos têtes. Elle mexpose la raison (ou le prétexte plutôt) de sa venue. Elle est juste à côté de moi, les jambes croisées. Alors quon discute, elle me montre un papier quelle a imprimé, et discrètement, elle fait glisser le haut de son tshirt « épaules nues » jusquà découvrir son sein gauche couvert par un soutif en dentelle. Je la regarde bouche bée, et je sens lexcitation montée. Nos collègues ne peuvent pas voir, et sont occupés à travailler, mais quand même, quel culot ! Elle continue son speech pour ne rien laisser paraître, et commence à remonter son haut.
- Je me demande si ce que tu portes en bas est aussi joli
Elle lit la phrase et me fait un regard dun air de « bien sûr ». Jefface le texte, et tape :
- Enlève ta culotte et laisses moi la ici.
Elle commence par lever les yeux au ciel, genre cest nimporte quoi. Puis finalement, après avoir vérifié que les autres collègues, se soulève légèrement de la chaise et remonte sa jupe. Autant dire que mon érection est complète maintenant, je bande sévère. Elle glisse ses mains sous sa jupe et baisse sa culotte, même ensemble que le soutif, transparente derrière (jai pu voir après). Elle la fait glisser le long de ses jambes et se soulève une dernière fois pour remettre sa jupe. Elle enlève ensuite complètement sa culotte et me la dépose sur le clavier. Je suis bouche bée. Je la prends et la porte à mon nez discrètement, puis la met dans ma poche.
- Confisquée, je lui chuchote.
Elle se met alors à taper sur le clavier :
- Rends la moi souillée.
Et se lève et repart en nous souhaitant bonne journée.
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